jeudi 17 juillet 2008
Journée à moorea en bateau... j'en ai de la chance!!!
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9Mgm35lEtMlPWj3QkXVz7riq1WeqynM6dGDGs32JYV_8YV-8O_VrLxjroSvYOel0o4-7jL1I3ozrOY86HwrCDUcpVnhw979dJsCsxTwVWk_AyMAJcR4r9zOjdhxEzESHC6xgkn0o2XOg/s200/society.gif)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEfy-FUh4GN3aPu4MbxF805DXbUj2BoqP738zJ4zsKrrhpjWg9gMWRqwIg-VjNZq66TP4F-POFUtxag1x_K1gLGWCmnUk4mEMBq9YUmQ-wRkxLUBbOMAyS_E8J5UNmf1FLNEywT-X4gUs/s200/Moorea.gif)
lundi 14 juillet 2008
dimanche 13 juillet 2008
Bora Bora... Un mythe... Une réalité!
Nous partons pour une visite de l’île de Raiatea… magnifique. L’après-midi est consacrée à la visite et à la présentation de l’hôpital.
Le soir nous nous rendons à l’aéroport, direction Bora Bora… un mythe ! Arrivés à Bora Bora, nous sommes immédiatement pris en charge par une navette… L’aéroport se situe en effet sur un Motu et le seul accès se fait par voie maritime. Après plus d’1/2 heure de trajet dans le noir (à cette époque de l’année – l’hiver austral – le soleil se couche vers 17h30) nous arrivons à l’hôtel Sofitel motu (comme son nom l’indique, il se situe également sur un motu !). Et là, c’est le grand luxe, nous sommes attendus (en effet, notre vol avait du retard) pour le repas et nous n’avons que peu de temps pour découvrir nos bungalows et y prendre une douche… Vous savez, les bungalows luxueux sur pilotis qu’on voit dans les magazines, sur une eau bleu turquoise… et bien, je pourrais dire : « j'y étais! ».
Tout est magnifique ici et je n’ose même pas imaginer le lendemain… avec la lumière du jour !
Effectivement, le lendemain matin… j’hallucine devant les couleurs, toutes les nuances de bleu… no comment, les photos parlent d’elles-mêmes. La journée est consacrée au tour de l’île de Bora Bora et tout ce qui va avec : plongée avec les raies, les requins et surtout le repas polynésien sur un motu (encore un !). Les mots me manquent pour vous décrire les paysages magnifiques et l’accueil, pourtant réputé, des polynésiens. Je passe une journée de rêve, jusqu’au soir où a été organisé (rien que pour nous) un repas sur une des plages de l’hôtel.mardi 1 juillet 2008
Le Cent-pieds.... beurrrrk
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOLMZywlITHB6wT155YoY5WI-FSbn6NkijyvPoHM_lTHT2sXKiJofgtBrfcU7602j2OZYjoWNQQk_AF_giAunVKciJZPBI654JO1DEdddEZYv-_xXQmbVhDX8outI8s0IYKignJU3swqQ/s400/cent-pieds.jpg)
Le cent pieds : dans la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 juin, veille de mon départ pour Raiatea et Bora Bora, 1heure du matin, je sens une piqure, suivie d’une douleur intense… j’allume la lumière et je vois un cent-pieds (sorte de scolopendre) accroché à ma main. Je viens de me faire piquer (ou mordre) par le seul animal terrestre hostile de Tahiti… le cent-pieds. Très vite la douleur devient insupportable et remonte dans tout le bras jusqu’à l’aisselle… c’est la panique, on m’a déjà parlé très souvent de ces bestioles et de leur piqure mais je ne m’attendais pas à en subir les effets si tôt après mon arrivée. Je commence par me venger en éliminant le scolopendre à coup de talon. Le reste de la nuit fut un enfer, je prends 2 comprimés de topalgic histoire d’atténuer la douleur mais ce médicament ne joue pas sur ma psychose ! je ne dors pas de la nuit, le moindre bruit me fait sursauter et je prends tout le sens de l’expression : "j’ai le cœur au bout de la main".
5h30, mon réveil sonne mais je n’ai pas dormi et je suis déjà douché et ma main a doublé de volume. J’ai RDV à 6H00 à l’hôtel Sofitel de Punauia. Je reprends un comprimé de topalgic. Arrivé à l’aéroport, tout le monde hallucine sur ce qui m’est arrivé, on me trouve un surnom : Perrin !!!
Nous arrivons à notre première étape : Raieatea où nous devons y visiter l’Hôpital d’Uturoa. Nous sommes accueillis comme des VIP (petit déjeuner….) et le directeur, en voyant l’état de ma main et de mon bras droit me conduit aux urgences. Les comprimés de topalgic commence à faire effet… je suis complètement stone !
L’urgentiste m’ausculte et me fait comprendre qu’il n’y a pas grand chose à faire… à part attendre que ça passe et me fait comprendre que les tahitiens ne viennent pas aux urgences quand ça leur arrive… je me sens honteux. Il me propose quand même de me faire un pansement alcoolique.